Le 07 Août 2024
ApoClips, les faisabilités en Vignole
Les images du jour montrent que nous testons aussi l'approche ApoClips en réalisant une variante de nos selles VMM injectées.
L'idée est de rester compatible avec nos appareils existants et notre approche en traverses bois coupées au laser.
Les traverses ont les dimensions réelles à l'échelle, sauf en hauteur bien sûr puisque le plan inférieur des traverses n'est pas visible pour cause de ballastage.
L'épaisseur de la selle sous le rail respecte notre norme, soit une épaisseur de 0.5 mm de la traverse au rail.
Pour le reste, on vise le respect de l'échelle comme le permet la technique en 2024, ainsi que le respect des normes de roulement NEM dans leur acception la plus fine et RP25-64 ou Proto'87, comme toujours chez nous.
Reste à permettre la diversité : c'est le sens de l'approche VMM et sa pleine voie basée sur des gabarits.
Voici une première impression acceptable des selles 3 trous.
Même remarque que précédemment : nous changerons de résine et les traverses doivent aussi être testées.
Les images du jour montrent que nous testons aussi l'approche ApoClips en réalisant une variante de nos selles VMM injectées.
L'idée est de rester compatible avec nos appareils existants et notre approche en traverses bois coupées au laser.
Les traverses ont les dimensions réelles à l'échelle, sauf en hauteur bien sûr puisque le plan inférieur des traverses n'est pas visible pour cause de ballastage.
L'épaisseur de la selle sous le rail respecte notre norme, soit une épaisseur de 0.5 mm de la traverse au rail.
Pour le reste, on vise le respect de l'échelle comme le permet la technique en 2024, ainsi que le respect des normes de roulement NEM dans leur acception la plus fine et RP25-64 ou Proto'87, comme toujours chez nous.
Reste à permettre la diversité : c'est le sens de l'approche VMM et sa pleine voie basée sur des gabarits.
Voici une première impression acceptable des selles 3 trous.
Même remarque que précédemment : nous changerons de résine et les traverses doivent aussi être testées.
"Grand débat" sur le Proto sur un forum sans éthique
Une association comme le Club Proto doit supporter ses membres les plus caractériels, qui font des crises quand l'industrie ou les artisans ne fonctionnent pas comme ils veulent.
Il pourrait y avoir quelques protoïstes dans un dîner de cons.
Il est donc instructif de suivre le débat actuel : pour certains point de salut hors du décolletage de 62'500 tirefonds, d'autres pensent que l'industrie "doit* rompre la compatibilité avec ses propres productions précédentes, on propose d'imprimer des clous en 3D, on suggère de brosser des traverses lisses en 3D.
Chacun a sa vérité et de solides a prioris.
Ici, comme BB4100 à Sarrancolin, on préfère essayer avant d'affirmer : cela devient possible en 2024 avec l'évolution de la 3D, alors que l'injection plastique se réserve à des grandes quantités incompatibles avec la disparition du train jouet.
Quant à la vulgarisation dans les revues que souhaite François, on va lui répondre charitablement que ce n'est pas le bon endroit, depuis "la rupture" de Gérard Huet aux quelques essais de Yann Baude, même la synthèse de LRPresse sur la voie de Bruno Moret ignore notre production sous prétexte qu'elle est artisanale.
Sur plus de 200 références destinées à produire la voie que vos modèles méritent, seule une a été mentionnée dans Loco-Revue il y a bientôt 10 ans.
Une association comme le Club Proto doit supporter ses membres les plus caractériels, qui font des crises quand l'industrie ou les artisans ne fonctionnent pas comme ils veulent.
Il pourrait y avoir quelques protoïstes dans un dîner de cons.
Il est donc instructif de suivre le débat actuel : pour certains point de salut hors du décolletage de 62'500 tirefonds, d'autres pensent que l'industrie "doit* rompre la compatibilité avec ses propres productions précédentes, on propose d'imprimer des clous en 3D, on suggère de brosser des traverses lisses en 3D.
Chacun a sa vérité et de solides a prioris.
Ici, comme BB4100 à Sarrancolin, on préfère essayer avant d'affirmer : cela devient possible en 2024 avec l'évolution de la 3D, alors que l'injection plastique se réserve à des grandes quantités incompatibles avec la disparition du train jouet.
Quant à la vulgarisation dans les revues que souhaite François, on va lui répondre charitablement que ce n'est pas le bon endroit, depuis "la rupture" de Gérard Huet aux quelques essais de Yann Baude, même la synthèse de LRPresse sur la voie de Bruno Moret ignore notre production sous prétexte qu'elle est artisanale.
Sur plus de 200 références destinées à produire la voie que vos modèles méritent, seule une a été mentionnée dans Loco-Revue il y a bientôt 10 ans.