Pont midi HO: modèle et montage
- La description générale de la ligne et du pont réel est sur cette page .
- Pour commander ce modèle en HO c'est ici !
- Les compléments à télécharger, c'est ici !
Le modèle 3D en HO
Le modèle 3DNotre modèle est destiné à tous les modélistes ayant déjà fait quelques soudures, c'est pourquoi sa conception a été soignée pour minimiser le nombre de pièces - mais il y en a quand même 260...Les équerrages sont guidés par des pièces de reprise et montages à tenons, la géométrie de votre modèle devrait donc s'obtenir facilement. Les empilages assez nombreux nous amènent à recommander l'usage de la soudure par résistance électrique (SRE), mais vous pouvez obtenir aussi de très bons résultats au fer. Les rambardes sont en cornière de laiton pour vous éviter des pliages de grande longueur sur des pièces minces ou la soudure de longues pièces fines. |
SymétriesLe modèle se base sur deux poutres principales réalisées par empilage de reliefs rivetés sur une âme en deux parties. |
Pièces mouléesSix pièces du modèle viennent de moulage: les quatre chariots de dilatation sont moulés en bronze à la cire perdue. |
Quelques vues du premier modèle de série monté
Cliquez sur ces six vues pour les agrandir dans une fenêtre popup!
Premiers retours
Dans son numéro 730, en pages 58 à 60, Loco-Revue contient un test de notre petit pont Midi en treillis avec une photo pleine page montrant comment intégrer ce pont sur des culées en pierre réalisées pour l'occasion, puis une analyse du montage en deux pages avec illustration des premières et dernières étapes.
Nous vous laissons découvrir l'article, réagissant ici sur les différents retours d'expérience qui peuvent intéresser tous ceux qui voudront se lancer dans ce montage.
- Certains monteurs dont moi-même ont rencontré quelques difficultés à monter les nervures obliques des croisillons.
N'hésitez pas à les coller puisque leur seul rôle mécanique est de supporter les cornières qui représentent les rambardes.
Ce point et plusieurs autres détails constructifs seraient naturellement modifiés si nous relançons une seconde série.
Dans la version en Zéro de ce modèle que nous prévoyons de réaliser, les points relevés sont modifiés. - La soudure au fer peut être employée pour le montage mais nous continuons de vous recommander la soudure par résistance électrique (SRE) car vous gagnerez du temps pour tous les empilages.
- Pour éviter de déformer les pièces en les dégrappant, utilisez comme nous une petite cisaille à gravures telle que celle vendue par Multirex Hobby sous la référence 290 001 et / ou 290 002 (mini-ciseaux pour la photodécoupe, lames droites ou courbes).
Autre méthode, sacrifier un petit tournevis horloger peu dommage pour en faire un burin miniature en maintenant la gravure sur une plaque d'aluminium (donc tendre) servant de martyr.
En coupant la dernière attache, poser un doigt sur la pièce à dégrapper évitera qu'elle ne traverse l'atelier... - Pour faciliter le montage, nos ponts auront à l'avenir des gravures plus rigides en maillechort.
- L'emplacement des traverses dépend du matériel de voie utilisé, et pour être totalement réaliste, du gabarit de pose des traverses par rapport au coupon de rail.
Nous avons donc choisi de ne pas représenter la fixation des traverses au tablier.
Pour une réalisation fine, vous pouvez couper de fines bandes de laiton comme en vend l'Octant sous la référence P330 / 08, soit une épaisseur de 0.3 mm pour une largeur de 0.8 mm aux extrémités de chaque traverse, avec des tirants de 0.3 passant au travers de ces pièces et du tablier.
La version en Zéro contiendra ce détail important.
Plus simplement, vous pouvez aussi cercler l'extrémité des traverses en fil de 0.3 si personne d'autre que vous ne vous en tient rigueur... - Si le montage du tablier ne présente aucune difficulté, il vaut mieux avoir une bonne habitude du montage de kits pour s'attaquer aux poutres.
Nous recommandons donc au modéliste qui veut s'attaquer à nos kits de ponts, modèles fins en très petites séries, de se faire la main sur d'autres montages auparavant car ces modèles comportent quelques pièces assez petites et autres reliefs en demi-gravure qui les rendent un peu fragiles : la finesse espérée est à ce prix. - Sur un modèle en très petite série, notre prix est calculé au plus juste pour répartir le coût de conception et de prototypage sur les quelques exemplaires vendus.
Mais sur la première série de ce premier modèle qui n'est pas exempt de reproches, nous avons décidé d'un effort commercial et notre prix a été modifié.
Nous attendions cet événement que constitue un premier test de produit dans une revue.
Mais nous attendons surtout votre propre retour d'expérience en remerciant ceux qui l'ont déjà fait, cette page contient les premiers résultats tangibles de ces dialogues irremplaçables !
Nous nous réjouissons de vous entendre ou de vous lire !
Notice de montage
Nous donnons ici seulement un extrait de la notice qui accompagne le kit sur le CD-ROM de documentation.
Cette notice contient la totalité de cette page avec les images en haute résolution, mais aussi les nomenclatures des sous-ensembles, les nomenclatures des plaques gravées et le superbe dessin de Michel Viers en grand format !
La notice de montage de ce petit pont sympathique en treillis est décomposée en trois parties: le tablier permettra au débutant en soudure de se faire la main sur un assemblage de complexité raisonnable, la poutre est un assemblage un peu complexe mais répétitif donc si on sait faire une partie tout le reste viendra naturellement, enfin la réunion des sous-ensembles sera la partie la plus gratifiante puisque vous verrez votre pont se concrétiser!
Montage du tablier
Prenez un exemplaire de la gravure G2102, pour ce montage à réaliser deux fois. Dégrappez à la cisaille à gravure: - Les longerons 201, - Les entretoises 202, - Le tablier 203, - Le croisillonnage 204. Conservez précieusement les bandes rivées 205 et la grappe entière dont nous extraierons une partie plus tard lors du montage. |
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Voici les acteurs de vos premiers soudages (on devrait dire brasage, s'agissant d'assembler à l'étain des pièces de laiton): - La station de soudage et le fer, - Le support du fer avec l'éponge, - Le flux, j'utilise une eau à souder Bergeon sans acide, - Le fil d'étain à âme décapante dans différents diamètres (0.7mm et 0.4mm pour les détails). |
Je travaille sur une tôle d'acier galvanisée de 1'000 x 120 mm disposée le long du bord de mon établi, ce qui donne une surface plane indispensable pour ce genre de montage où la géométrie est importante et permet le soudage à la résistance électrique (SRE).
Cette tôle s'abîme assez vite (quelques kits), se couvre de dépôts de flux, prend quelques coups... à remplacer !
Avant toute opération de montage à la brasure à l'étain, s'assurer que vos pièces sont propres et pas trop oxydées.
Un nettoyage éventuel à l'eau chaude savonneuse dégraissera la tôle de laiton, rinçage abondant et essuyage léger au chiffon doux.
Vous pouvez alors préparer l'emplacement de la brasure en le peignant d'une goutte de flux qui facilitera la prise de l'étain fondu sur le laiton, préalable indispensable au succès de l'opération . j'utilise un vieux pinceau n°1 directement dans la bouteille de flux.
L'utilisation d'un flux sans acide épargne un peu les outils (et vos bronches, si vous soudez beaucoup!) mais il est préférable de ranger tous les outils métalliques à bonne distance pour ne pas les oxyder irrémédiablement quand vous soudez.
Après chaque opération de fluxage, une fois les pièces soudées, il est indispensable de laver les pièces à l'eau chaude (tiède, à la rigueur) savonneuse puis rinçage abondant, même avec ce flux sans acide qui attaque moins le laiton mais laisse un dépôt poisseux.
On s'y met ? Alors voilà: sur le croisillonnage posé à l'envers sur votre plan de travail, positionner les deux longerons puis insérer une première entretoise dans les fentes correspondant au second logement comme sur la photo, souder à gauche et à droite.
C'est votre première soudure ? Allons-y ! Commencer par nettoyer la panne dans l'éponge mouillée à saturation, par petits coups qui font un "pchit" typique, jusqu'à ce qu'elle soit brillante. Ensuite prendre un tout petit peu d'étain au bout du fil, un ou deux millimètres de fil de 0.7 mm dans ce cas de soudure assez grande. Votre soudure est "fraîche", allez vite la poser! |
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Pour cela, plaquer doucement le bout de la panne pour qu'il soit en contact avec les deux pièces à souder et au bout du cordon que vous voulez réaliser. Je chauffe le fer très fort dans ce genre de grandes soudures où les pièces ne sont pas fragiles, pour aller vite. Les pièces chauffent (attention les doigts, il faut y penser avant !) puis rapidement l'étain fuse dans l'angle, on tire le cordon. Soudure réussie ? BRAVO ! |
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Un peu de géométrie... Redresser les deux pièces 201 et 202 (longeron et entretoise) pour qu'elles soient bien perpendiculaires au croisillon, en vous aidant d'une petite équerre ou de votre oeil s'il est aguerri. Souder l'angle entre le longeron et l'entretoise à gauche et droite. Placer provisoirement le tablier pour vérifier que les tenons s'engagent bien dans les mortaises. |
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Ajouter une nouvelle entretoise 202 à l'extrémité frontale du croisillon. Placer à nouveau le tablier pour vérifier le bon engagement des tenons (après chaque entretoise) et pour cette pièce-là, souder sur toute la longueur et profiter de souder l'extrémité des longerons au travers de l'entretoise. |
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Les pièces chauffent pendant le soudage, c'est fait pour... |
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Préparer la seconde moitié du tablier de la même manière. Les moitiés de croisillons contiennent chacun une rainure pour positionner l'entretoise médiane en alignement dans les deux simultanément, ce qui assure la géométrie de l'ensemble sans surépaisseur. Présenter les deux moitiés puis souder l'entretoise centrale. |
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Positionner les deux moitiés de tablier : les tenons doivent être engagés, vous verrez probablement un petit angle entre eux comme sur cette image. Nous allons corriger ça. Les tenons dépassent de la plaque car ils tiennent d'autres pièces qui viendront à la fin. Nous devons donc surélever les tabliers pour laisser ces tenons dépasser et rendre ce montage possible plus tard. |
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Découper dans les deux grappes de gravure G2101 une bande comme montré sur l'image. Positionner le long des longerons avant de retourner le tout, ce qui laisse dépasser librement les précieux tenons des longerons 201 au travers du tablier 203. Vous pouvez maintenant souder le tablier à toutes les entretoises et longerons - bon entraînement ! Noter les traces de doigts sur le tablier : nettoyage d'urgence ! |
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Si tout s'est bien passé vos tenons doivent dépasser de 0.15 mm au travers du tablier. Sinon, reprendre les soudures pour parfaire le plaquage des longerons sous le tablier. Pour souder la seconde moitié n'oubliez pas de maintenir les deux moitiés pressées en contact longitudinal, ce qui assurera maintenant la géométrie de l'ensemble par le premier soudage des longerons. |
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Terminer le montage de la seconde partie du tablier en soudant toutes les entretoises. Sur ce pont très rudimentaire, les traverses sont simplement posées sur l'aile supérieure des longerons que vous pouvez maintenant préparer. Fluxage d'une ligne sur le tablier, soudure en pâte après fluxage et nettoyage sur la bande rivée 205. Vous pouvez souder cette bande soit au fer, soit mieux à la SRE. |
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Souder les trois autres bandes rivées 205. Et voilà, votre tablier est terminé ! Après un nettoyage en profondeur, mettez-le soigneusement hors du champ de travail pour éviter qu'il ne soit à nouveau contaminé par le flux des soudures suivantes. |
Montage d'une poutre
Chaque poutre utilise une gravure G2101. Premier travail assez fastidieux : dégrapper l'âme 103 en évidant tous les croisillons. Ces contre-pièces triangulaires limitent la consommation d'acide durant la gravure. Contrairement à cette image, nous recommandons d'évider les pièces avant de les dégrapper ! |
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Dégrapper très soigneusement les reliefs d'extrémité 104 et 106 en les évidant, attention comme toutes les pièces de relief de cette poutre ces pièces sont très fines et facilement pliées. Dégrapper et fluxer les deux nervures extrèmes 107 et 105, badigeonner l'une des deux à la soudure liquide. |
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Les deux nervures extrèmes tête-bèche enserrent l'âme après insertion dans les fentes correspondantes. Attention, il est normal que ces pièces et tous les reliefs soient un peu plus hauts que l'âme car ensemble ces pièces forment une rainure dans laquelle l'aile de la poutre viendra se positionner précisément: ne pas araser cette hauteur supplémentaire! Voir la rainure escomptée quatre lignes plus bas. |
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Même principe pour le montage des reliefs: fluxer puis badigeonner les reliefs. Noter que sur l'image les soudures sont faites à la pince SRE American Beauty, mais vous pouvez naturellement les réaliser au fer ou à la SRE "classique" avec l'électrode en carbone. Nous préférons cette pince pour les petits montages délicats, en utilisant juste la puissance nécessaire, c'est un bon achat. |
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Préparer les croisillons recto 108 en dégrappant soigneusement les renforts de croisillon 109 qui seront montés en premier. |
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Même avec le plus grand soin il arrive que les croisillons 108 soient un peu tordus par les opérations de dégrappage mais un petit coup de pince plate les redressera facilement. Présenter ces croisillons sur l'âme : si la fente de l'âme qui recevra la nervure suivante n'est pas totalement dégagée, réduire très légèrement la largeur du croisillon à la lime uniquement au niveau de la fente occultée. |
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Redressement prudent des croisillons à la pince plate, opération assez délicate dont le résultat est important visuellement. Pour centrer les croisillons correctement au montage, se souvenir que l'ensemble forme avec l'âme une rainure dans laquelle l'aile de la poutre viendra se centrer. |
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Souder les deux croisillons de ce caisson à la SRE en les plaquant bien contre la nervure. Le fer va aussi mais le résultat sera difficilement aussi propre. Les fentes des nervures, qui ensèrent l'âme de la poutre, sont parfois insuffisamment ouvertes. On peut très bien remédier à ce problème en découvrant l'outil adéquat... |
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J'utilise un strip abrasif au corindon, granulométrie moyenne, employé dans la dentisterie : ce strip métallique est très fin et se glisse sans problème dans une fente de ce type. Si on a déjà dégrappé prendre la pièce dans un étau miniature, sinon le mieux est de réaliser cette opération avant le dégrappage. |
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Les nervures sont étamées et prêtes à monter, on en monte une paire tête-bèche. Attention à l'orientation des pièces, l'échancrure pour le tablier vers la face intérieure de la poutre comme pour la première. Ensuite on passe au caisson suivant avec les mêmes opérations : deux croisillons, puis deux nervures tête-bèche. |
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Puis le troisième caisson et encore une nervure, et enfin le quatrième caisson mais pas la nervure tout de suite, celle-ci est un peu spéciale puisqu'elle réunit les deux moitiés de la poutre ! Mettre ces deux pièces de côté en attendant la réunion. |
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On passe aux nervures obliques externes 126 et 113 - placement de composants pas très logique dans la gravure puisque ces pièces sont du "mauvais" côté. Attention, cette opération a été jugée difficile par les premiers modélistes qui ont monté ce pont. Plutôt que de vous brûler les doigts ou de déformer les croisillons en montant ces pièces, n'hésitez pas à les coller ! Fluxer et étamer ces pièces. Attention à l'orientation des supports 126, qui tiendront la rambarde par sa face supérieure. Au montage de ces nervures, ne pas chauffer trop fort sinon vous déformerez le croisillon par dilatation. |
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Une astuce: les pièces étamées sont positionnées, un coup de soudure liquide le long de la poutre et de la nervure, la chauffe s'effectue par l'extérieur jusqu'à fusion de la soudure liquide en deux fois (début et fin de la nervure). Même opération sur la face interne de la poutre pour les nervures 112 et 113. Préparer ensuite la seconde demi-poutre comme la première. |
Réunion des sous-ensembles
Prémonter les deux moitiés de la nervure centrale - au fer, ou comme ici à la pince SRE. Premier positionnement des deux demi-poutres pour vérifier leur géométrie. La fente entre les deux parties de l'âme doit permettre d'insérer la nervure pré-montée. |
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On peut donc interposer la nervure centrale. Celle-ci est soudée sur une demi-poutre, c'est plus simple. |
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Positionner les deux demi-poutres et les maintenir en place à l'aide d'une pince à cheveux. Souder la nervure aux deux extrémités sur la face externe et retirer la pince à cheveux. Compléter la soudure là où se trouvait la pince, puis retourner l'ensemble et souder sur la face interne. |
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On passe au montage des rambardes, tirées d'un profil de laiton fraisé en U. La longueur est normalement 184 mm mais il vaut mieux mesurer sur place pour couper juste avant les nervures. Je marque le profil à la pointe du scalpel, avec une lame neuve ou récemment aiguisée à la pierre ! On voit ici l'avantage d'avoir des doigts de pianiste... |
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On trouve ces boîtes à onglets miniatures chez l'Octant, c'est un outil indispensable. Couper deux longueurs de profil par poutre pour les rambardes. On peut maintenant plier les supports au bon angle : maintenir le support et la nervure dans une pince, puis repousser la patte jusqu'à l'horizontale avec un outil, j'utilise l'extrémité d'une lime. |
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Toutes les pattes d'une rambarde devraient être parfaitement dans le même plan pour que la rambarde soit droite. Une pointe de pinceau de soudure liquide suffit largement pour souder la patte et la rambarde à chaque support. |
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Préparer le demi-longeron 101 qui constitue la face interne de l'aile supérieure de la poutre en fluxant et étamant ses deux faces. Présenter cette pièce à la poutre, avec le bossage linéaire bien aligné dans la rainure extrême de la poutre maintenue verticale. On repère ainsi le début de l'arrondi à former sur une queue de foret de 6 mm. |
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Reprendre la position précédente et souder la partie verticale de l'aile - cette soudure particulière avec un empilage sur chant consommera pas mal de soudure en fil, c'est normal ! Avancer ensuite de caisson en caisson pour souder toute la longueur. Souder l'autre partie sur la seconde moitié de la poutre. Il subsiste un petit gap au centre. |
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Présenter et former de la même manière la partie externe 102 de l'aile supérieure. Cette fois l'étamage ne se fait que sur une face complète (la face sans rivets) et sur les parties non rivetées de la face externe. Souder à la SRE est la méthode la plus rapide. Ici encore, un petit gap subsiste au centre si l'alignement est bon pour l'échancrure du tablier. |
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Pour terminer l'aile supérieure, souder à la SRE le renfort médian 118 et les deux goussets 117 en veillant à bien respecter l'entraxe des rivets, ce détail se voyant beaucoup. Attention : le gousset 117 n'est pas symétrique - une extrémité possède un rivet central (vers le milieu du pont) et l'autre non (vers l'extrémité du pont), voir l'image. |
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Préparer en étamant les deux faces le demi-longeron inférieur interne 114 et le présenter, en centrant bien sa nervure dans la glissière de la poutre et en alignant bien les rivets dans l'axe des nervures. Souder sur chant caisson par caisson, au fil de 0.7 mm. Etamer la face lisse et le rectangle de l'appui de la face externe 115, puis retourner la poutre et souder à la SRE. |